Frères et sœurs, la fête de l’Ascension évoque un départ, une promesse et une présence. Jésus retourne auprès de son Père, qu’il avait quitté le temps de son Incarnation et de sa vie sur la terre.
Nous sommes encore au cœur du temps pascal, et voici que St Luc dans la première lecture, et Jésus dans l’Evangile, annoncent la présence de ce feu, de ce souffle, de ce défenseur qu’est l’Esprit-Saint.
« Je suis le chemin, la vérité, la vie ! » Voilà ce que Jésus dit de lui-même, en ce cinquième dimanche de Pâques.
Frères et sœurs, Jésus se présente aujourd’hui à la fois comme le bon berger, et comme la porte de la bergerie. Il veut ainsi signifier qu’il est attentif à chacune et chacun de nous, qu’il nous accompagne sur nos chemins de vie.
Frères et sœurs, après la stupeur de Marie-Madeleine et de ses amies devant le tombeau vide, après la course folle de Pierre et Jean pour constater l’incroyable nouvelle, voici que saint Luc nous propose aujourd’hui un nouveau récit concernant la résurrection !
Frères et sœurs, Thomas est un personnage bien sympathique ! Son histoire, rapportée par Jean l’évangéliste, nous permet de mieux comprendre ce qui s’est passé juste après la résurrection du Seigneur.
– Eh, Marcel, tu ne saurais pas ce qui se passe chez les cathos ce week-end ? Ils ont l’air tout agités et plutôt contents !
Frères et sœurs, le récit de la Passion du Seigneur est toujours poignant, difficile à entendre et à accueillir. Parce qu’il touche au cœur de notre foi, qu’il concerne ce que le Fils de Dieu a enduré et subi.
La célébration des Rameaux nous rejoint dans nos vies de chaque jour, qui elles aussi sont porteuses de ces contrastes.
Le temps du carême est un apprentissage : par la prière, le partage, et tous les efforts qui éclairent nos journées, nous devenons davantage enfants de Dieu.